Une étape dont je ne suis pas peu fière: 26 km (bon pas beaucoup de dénivelé et surtout de la route). A part ça, rien de bien remarquable.
La fatigue est là… et à chaque grimpette je me demande si je ne vais pas laisser tomber. Je ne me souviens pas de sentiment sur Compostelle, alors que le dénivelé était plus fort. Mais pour Compostelle j’étais moins chargée, je m’étais mieux préparée, je faisais des journée off plus fréquemment… et j’avais une dizaine d’année de moins. Je sais qu’il faut que je m’accorde une petite pause. Ce sera fait à Digoin où mon cher et tendre vient me rejoindre. Une journée off avant le Morvans qui s’annoncera bientôt.
Enfin je sors la tente! Au camping municipal de Charlieu au bord du Sornin. C’est un jeune couple charmant qui vient de reprendre la gérance. Tout confort, bar snac et tables sous les grands arbres. J’ai l’embarras du chois pour l’emplacement…
Bien rangée Bien dérangée
On avait dormi dans ce joli camping en montant chez Denis l’an dernier. C’est vrai qu’il est bien.
Courage pour la suite. Tu avances bien. Bisous et à ton cher et tendre aussi
Mais t’es déjà sur les réseaux sociaux!
Bientôt arrivée !!!
Mais oui, enfin disons que j’ai jamais été aussi près…
26 kms ! C’est génial ,tu as bien fait d’investir dans des semelles de compétition .
Plein de courage et savoure ce sentiment de liberté.
Je profite, même si je ne retrouve pas la magie de Compostelle. Et puis je retrouve les amis et ça c’est top…